• bain-brise

    Conférence Quelque chose de la Performance
    Yann Marussich    

    Le Jeudi 15 novembre à Bayonne
    Carré / Rue Frédéric Bastiat à 18h

    Gratuit - Réservation conseillée

    © Emilie Salquebre

    Yann Marussich présente dans ses conférences son travail de performance, développant les notions de risque, de présence et du rapport à la douleur.
    A travers un diaporama chronologique de ses performances on pourra voir l’évolution de son travail tant au niveau esthétique que des variations sur le thème de l’immersion dans un milieu hostile.

    À la suite de la conférence vous pourrez découvrir son livre Notes d’inemploi (De la performance), premier ouvrage de la collection du festival Rencontres Improbables.

    Notes d’inemploi (de la performance) - Yann Marussich est performer. C’est un des rares performers en Europe qui vit de son métier. C’est un métier. Pour lui c’est le métier de vivre. Pour vivre il performe, il écrit, il dessine, il voyage dans le monde et à l’intérieur de lui. C’est un tout. Indissociable.

    « Ces notes ont été écrites entre le 17 octobre 2011 et le 10 janvier 2012. Elles sont dans un ordre chronologique. Parfois poèmes. Parfois notes de travail. Parfois réflexions sur ce qui m’entoure. Parfois journal des performances. Mais tout ceci reflète bien mon état d’esprit de travail de performer. L’écriture est toujours présente. D’une manière ou d’une autre.  Je ne peux pas seulement me satisfaire d’une pratique physique. J’ai besoin de la traduire. Mais comme la traduction est quasi impossible je travaille donc l’écriture comme une interprétation de mon corps par le chemin des muscles du sang  des nerfs du souffle des rêves des pensées et des peurs. »

    Yann Marussich - Né à Genève en 1966. Artiste autodidacte. Tout d’abord danseur. Puis chorégraphe. Puis vainqueur de la coupe de France de Viet Vo Dao. Puis éclairagiste. Puis directeur de théâtre. Puis performeur. Puis scénographe. Puis dessinateur de lignes courbes. Puis poète de mots intérieurs. Son activité principale reste la performance et il présente ses pièces (45 à ce jour) dans toute l’Europe, aux USA, en Amérique du Sud et en Asie.
    « Écorché, déroutant, provocant, authentique », il nous livre des performances dont on ne ressort pas tout à fait indemne.
    En 2008, il reçoit le prix Ars electronica dans la catégorie Hybrid art avec la performance Bleu remix.  Yann Marussich a été artiste associé au théâtre du Grütli pour la saison 2010-2011.
    Depuis 2011, Yann Marussich est conventionné par le département de la culture et le fond d’art contemporain (FMAC) de la ville de Genève.

    Site Yann Marussich

    Sortie du livre Notes d’inemploi (de la Performance) par Yann Marussich le jeudi 15 novembre à 18h au Carré à Bayonne


  • Bâtiment 2Exposition Gabrielle Duplantier Les Enfants D’ici             

    Photographies argentiques noir & blanc

    Place Jacques Portes à Bayonne 

    Du 2 novembre au 2 décembre 2012

    Accés libre

     

    GABRIELLE ET LES ENFANTS DU QUARTIER DES HAUTS DE BAYONNE
    Gabrielle depuis plusieurs années initie les enfants de l’école Malégarie à la photographie. Son terrain de jeu, le quartier et un labo photo au sein de l’école. Gabrielle traverse les immeubles, leurs couloirs, les parcs, tourne autour des arbres, des grilles de fer, du béton, en rappelant à toute sa petite troupe, qu’il ne faut pas aller bien loin pour faire une belle photo - Le beau étant partout - Les enfants eux jouent, ils sont là, peut être pas trop pour la photo, on ne sait pas, mais la prof elle est plutôt cool et pis c’est quand même rigolo de faire ça…
    Gabrielle, elle, fige ces moments d’échanges et de partages. Elle les observe, les voit vivre, jouer, danser, courrir, chanter, imaginer leurs rêves, se bousculer et grandir dans cet espace qui est le leur.

    LA COMPAGNIE LÉZARDS QUI BOUGENT ET GABRIELLE DUPLANTIER
    Les photographies de Gabrielle nous ont séduit et nous avons souhaité proposer à cet artiste de l’accompagner dans la réalisation de ce travail sur les enfants des quartiers des Hauts de Bayonne et d’avancer avec elle vers la réalisation d’un ouvrage photographique. Le livre présentera un grand nombre de photos mais aussi des textes inspirés par les photos qui seront écrits par des enfants de l’École Charles Malégarie et de l’École Maurice Ohana.
    Nous les inviterons à poser leurs mots ou leur poésie sur ces images et par cet acte de participer à la réalisation de cet ouvrage dédié aux enfants de nos quartiers en organisant des ateliers d’écriture avec l’association Libre Plume.
    Ce livre est un hommage à nos enfants, avec un clin d’oeil spécial aux enfants des quartiers Nord de Bayonne qui en sont les acteurs et qui en ont inspiré la réalisation.
    Sa sortie est prévue le 9 novembre 2012 et sera accompagnée d’une performance avec Antoine Bataille.
    Nous avons également souhaité organiser une exposition des photographies de Gabrielle Duplantier afin que le plus grand nombre puisse découvrir son travail. Vous pourrez donc apprécier le talent de cette jeune artiste bayonnaise en découvrant ces photographies noir et blanc, place jean Laporte à Bayonne tout au long du mois de novembre. Pour en savoir plus sur Gabrielle Duplantier :
    www.gabrielleduplantier.com

    Vernissage de l’exposition, Sortie du livre Les Enfants d’Ici et performance Quelque chose de sensible
    le vendredi 16 novembre à 18h /Maison départementale de la Solidarité, 25 rue Mounede à Bayonne.

    En partenariat avec la Fondation du Crédit-Agricole Pyrénées-Gascogne et avec le soutien du Conseil Général des Pyrénées-Atlantiques.


  • anne Bothuon

    Exposition Anne Bothuon

    Cousu Main    

    Sculpture - Peinture

    Au Carré À Bayonne / Rue Frédéric Bastiat
    Du 2 novembre au 2 Décembre 2012

    Tous les jours sauf le lundi de 13h à 18h

    Entrée libre

    ” Certains la soupçonnent d’être une sorcière s’enfermant avec ses aiguilles pour figer nos âmes. À l’évidence, découvrir une sculpture de cette artiste, c’est plonger au sein d’un univers qui ne peut vous laisser indifférent. Il y a chez cette femme, une force et une tendresse hallucinantes qui placent l’être humain au centre de ses obssessions. Elle fait partie de ces artistes qui s’imiscent en vous et ne vous lâchent plus. Comme quand vous découvrez pour la première fois un portrait d’Anette de Giacometti. ” Kristian Frédric

    Le festival de performances Rencontres Improbables 7, présentera une rétrospective de l’oeuvre d’Anne Bothuon.

    À travers ses ”sculptures molles” et statiques, ses figurines moelleuses et légères, de taille humaine ou plus réduite, ainsi qu’à travers ses toiles, nous voyageons dans un univers onirique, sensuel et centré sur la femme.

    La particularité de ces nus féminins et de ces bustes tient à la matière première utilisée, la ouate. Anne Bothuon la recouvre de fine tarlatane aux couleurs de toutes les nuances de la chair et la façonne à l’aide de fils et d’une grosse aiguille de tapissier.
    C’est en serrant l’étoffe et en accumulant les nœuds qu’elle parvient à imprimer des formes et à faire apparaître une omoplate ou un sein.

    Le fil utilisé comme une couleur pour dessiner le visage, trace un relief, ajoute des effets d’ombre. On y voit des veines, des rides et des plis, de la peau, des tatouages et des cicatrices aussi.

    De son propre aveu, Anne Bothuon rattache ses créations à celles de Louise Bourgeois et d’Annette Messager pour l’utilisation du textile, cette « technique de dame », et à celui du créateur de masques Werner Strub, pour l’utilisation graphique du fil.
    Anne Bothuon sur
    http://anne.bothuon.free.fr/

    Vernissage de l’exposition le Vendredi 2 Novembre à 18h
    Conférence de presse du festival le vendredi 2 Novembre à 11h au Carré.

    En partenariat avec la Ville de Bayonne


  • imageLe Samedi 24 novembre à Anglet
    Chapiteau de Baroja, 19 Rue des Quatre Cantons à 21h00

    Gratuit - Réservation conseillée

    Avec Antoine Bataille / Radio Elvis / Gabriel Dufay / Richard Laillier / Vladimir Vatsev / Pauline Masson

    Film Le journal d'une apparition  (réalisation Vladimir Vatsev).    

    Performance Musique / Interprétation / Dessin

    Une « fugue bâtarde » c’est la tentative de faire apparaître une couleur nouvelle et éphémère en croisant diverses teintes, en combinant violence et tendresse, classique et expérimental. Antoine Bataille malaxe notes, sons, mots, pour former une pièce musicale ininterrompue, entre composition structurée et libre improvisation, mêlant piano acoustique, claviers électriques et voix par l’intermédiaire de pédales de sampling (sans aucun son préenregistré).

    En deuxième partie de soirée « The night of loveless nights » nous plongera dans la nuit de Robert Desnos. Cette nuit de plénitude fiévreuse, de transe lucide. Robert Desnos face à lui-même, escorté par ses fantômes jusqu’à la révolte.
    C’est autant par les mots susurrés, scandés ou chantés, que par les sons, les rythmes, la musique et le dessin que Pierre Guénard (guitare, percussions, chant), Gabriel Dufay (voix), Richard Laillier (dessin) et Antoine Bataille (piano, claviers, chant) déverseront ce fleuve de désir, de fracas, de défiance et d’espoir.

    Radio Elvis©Victor AndreRadio Elvis, avec son univers surréaliste, réussit la rencontre entre la poésie et la musique.
    Se libérant du format « chanson française » habituel, il nous distille une exigence textuelle et musicale dans l’atmosphère intimiste qu’il installe.
    Radio Elvis (Pierre Guénard) s’accompagne  d’une  guitare et d’un sampleur, instrument lui permettant de créer des ambiances pour le moins étonnantes. Les morceaux  qu’il  compose  possèdent une  véritable  dimension  littéraire  car ils prennent racine dans ses poèmes  et sont pensés  comme tels. Gardant une liberté de format,  Radio Elvis allie minimalisme musical et chant. Marqué par son expérience  de slameur, il obtient  ainsi un résultat  brut où se côtoient  poésie et une musique folk aux vibrations rock. Au fur et à mesure,  il se crée un repertoire personnel  où se mêlent ballades poétiques  (dans le sillon d’un Murat) et chansons plus théâtrales tel que son morceau “schizophrène” : “L’ oiseau” Avec un set d’une heure et demie, il se produit tous les mois dans son lieu de résidence ainsi que dans de multiples bars parisiens depuis maintenant un an.
    En août  2010, il enregistre  sa première  maquette de  six titres  intitulée  «La  Respiration»  . S’inscrivant dans  la tradition de la chanson française, tant dans l’importance  accordée à l’écriture que dans l’interprétation, Radio Elvis n’en n’oublie pas ses premières influences: le rock (Sixteen Horsepower, Woven Hand et Théo Hakola), la musique Bluegrass (Bill Munroe, Jack Tree, Pete Seeger) ainsi que la musique indépendante française (Kent, Thiephaine, Dominique A, Bashung…). Radio Elvis se prépare  aujourd’hui à enregistrer  une dizaine de ses nouveaux titres tout en poursuivant ses concerts.

    www.myspace.com/radioelvis

    © Victor Andre

    SGabriel Dufay 1©Vladimir VatsevGabriel Dufay - Après des études littéraires en hypokhâgne et khâgne au Lycée Fénelon, il poursuit des études de théâtre en tant que comédien à l’Ecole supérieure d’art dramatique de la Ville de Paris (ESAD) puis au Conservatoire national supérieur d’art dramatique (CNSAD), promotion 2007. Il intègre ensuite le Jeune Théâtre National.
    Il a joué notamment pour Jean-Paul Wenzel, Christophe Rauck, Wajdi Mouawad, Caroline Marcadé, Frédérick Salard, Jean-Baptiste Sastre, Michel Didym, Bruno Podalydès…
    Il travaille également pour la radio, la télévision et participe régulièrement à des lectures à la Villa Médicis, au Centre Culturel Français à Héliopolis – Le Caire, au Musée de la Grande Armée, au Musée d’Orsay…
    En 2008, il crée la Compagnie Incandescence, en vue de défendre un théâtre exigeant, en prise avec la société et constitué d’écritures nouvelles et singulières.
    Il s’agit d’explorer un répertoire d’auteurs contemporains qui méritent d’être découverts ou revisités aujourd’hui, ici et maintenant (Roland Schimmelpfennig, Thomas Bernhard, Nathalie Sarraute, Léonid Andreïev, Evguéni Grichkovets, Jon Fosse...) et qui tous mettent en jeu, renouvellent les codes de l’écriture dramatique.
    Gabriel Dufay a mis en scène Pour un oui ou pour un non  de Nathalie Sarraute (Théâtre du Lycée Buffon, 2003), Un pour la route de Harold Pinter (Conservatoire du XIVe, 2003), Simplement compliqué de Thomas Bernhard (CNSAD, février 2006), Le Silence et Le Mensonge de Nathalie Sarraute (CNSAD, septembre 2006), spectacles qui remportent l’adhésion du public et le soutien des professionnels.  
    Par ailleurs, il effectue la mise en espace de Microfictions de Régis Jauffret (Mousson d’Hiver, Pont-à-Mousson, 2009) et de Probablement les Bahamas de Martin Crimp (TGP – Saint Denis, juin 2009), Contre le progrès d’Esteve Soler (Mousson d’été, Pont-à-Mousson, 2009) et dirige en compagnie Arlette Namiand en avril-mai 2009 à la Coupole - Scène Nationale de Sénart un chantier de création autour de La Ville d’Evguéni Grichkovets.
    Il met en scène Push Up  de Roland Schimmelpfennig au Théâtre Vidy-Lausanne en novembre 2009.
    Le spectacle tourne en 2010 au TNBA (Bordeaux), au Théâtre de l’Avant-Seine (Colombes), au Théâtre des Célestins (Lyon), au Théâtre National de la Criée (Marseille),  à la Coursive (La Rochelle) et au TDB (Dijon) pour le Festival « Théâtre en mai ».
    Depuis 2010, il est membre de la Commission Nationale de l’aide à la création au Centre National du Théâtre.

    ©Vladimir Vatsev


  • NY 2

    STUDIO NEW-YORK IV

    Le Jeudi 22 novembre à Anglet
    Écuries de Baroja, rue des Quatre Cantons à 18h45

    Gratuit - Réservation conseillée

    Avec Soo Lee et artistes musiciens surprises       

    Performance musique / Vidéo

    Voir présentation de la performance au vendredi 16 nov

     

    QQCdLE - Incidents denses07

     

    QUELQUE CHOSE DE L'ENFER

    Le Vendredi 23 novembre à Bayonne
    Carré À Bayonne / Rue Frédéric Bastiat  à 21h00

    Gratuit - Réservation conseillée

    Avec Richard Laillier / Isabelle Horovitz / Pascal Fleury                    

    Performance Danse
     

    Dans la Vita Nuova, Dante raconte les deux rencontres qu’il fit de Béatrice et qu’il ira chercher dans La Comedia au travers de L’Enfer et du Purgatoire pour la retrouver enfin au Paradis.

        Je me suis parfois demandé comment Dante avait pu nourrir toute une vie de deux instants. Et puis j’ai cru comprendre que cela avait peu d’ importance.
        J’ai délaissé l’Enfer, le Paradis et l’entresol, je me suis éloigné de toutes les histoires.

    J’ai pensé à l’ennui de l’une et à l’absence de l’autre.

        Il n’y a que le noir, la lumière des êtres et des choses, la gomme pour enlever ce qui n’a pas d’importance.

    Nous avons commencé par nous noircir la tête de détails et d’histoires : Dante et Béatrice, l’Enfer et toute la Comedia … puis nous avons gommé pour ne garder que les corps qui échangent de place le temps d’un simple souffle.l s’agit là de temps, de toucher l’air et de se glisser dedans, d’aller d’un point jusqu’à lui même, d’étirer chaque instant afin qu’il tarde à devenir l’instant suivant.

        … et par là nous sortîmes à revoir les étoiles.

        Quelque chose de l’Enfer : du bruit et des images comme seule forme possible de calme, le tout obtenu par obsession, en quantité ; voler des textes à des auteurs que je ne connaîtrai jamais, collectionner des flots d’images qui ne m’appartiennent pas, m’approprier des sons sans que je sache même d’où ils proviennent.

        Quelque chose de l’Enfer : comme ingestion, digestion, déjection, trop facile de me dire que je suis mon propre enfer, mon lieu d’en bas, trop facile de me dire que c’est en haut que ça se passe, juste jouer à la bascule. et puis d’abord t’es qui toi l’Enfer pour venir dans mon atelier insidieusement, sans prévenir personne ? Ainsi Dieu se ment. Le voilà lui, qui se pointe, je me doutais bien que je verrai le bout de son nez, pas question que je parle de son Déchu sans qu’il s’en mêle vous pensez bien…

        Quelque chose de l’Enfer : peut-être simplement un atelier d’artiste dont l’artiste est absent.
        Ou vide
        un artiste ça se vide également, un peu comme un poisson mais en plus grand. C’est ça, la grandeur de l’artiste, peut-être juste un rapport de taille : Anatomie Comparée de l’artiste et du poisson, je suis une mouette, non ce n’est pas cela, de toute façon je ne suis pas non plus une actrice.

        Quelque chose de l’Enfer : prenons par exemple la rue Lauriston, je suis né tout à côté, en 61 (comprenez 1961), rue Lauriston, pendant l’occupation, on torturait et dans les années 70, on y vendait des studios avec baignoire ; comme un petit quelque chose de l’enfer avec une toute petite cerise d’ironie sur le gâteau.

    Epilogue :

        Je me souviens tu vois quand tu venais me chercher à l’école ; je contournais le parterre de fleurs de l’immeuble récent de la rue Lauriston.

    l’enfer me ment.
    Richard Laillier – Mai 2012

    Richard Laillier :

    Autodidacte né en 1961, il rencontre en 1977 le musicien Michel Sikiotakis avec lequel il jouera jusqu’en 1982. il commence à peindre puis à photographier - première exposition personnelle en 1986 au Théâtre du Ranelagh où sa grand-mère avait été ouvreuse et parution en juin 1990 d’un press-book dans Photo Magazine, série de portraits d’ami(e)s comédiens et comédiennes aux corps et visages peints puis intégrés dans des œuvres peintes sur papier. Toujours en 1990, la rencontre avec Jean-Paul Girard lui fait découvrir le dessin. Le 15 mai 1991, effaçant à la gomme un trait de mine de pierre noire malencontreux, il réalise son premier dessin avec ce médium qu’il ne quittera plus, recherchant dans le noir la lumière des corps. Après une longue et enrichissante collaboration avec les galeries Koralewski à Paris et Fred Lanzenberg à Bruxelles, ses dessins sont maintenant représentés par la Galerie Guigon - Paris, la Galleria del Leone - Venise et Rome, et Fadi Mogabgab - Beyrouth ; son travail en dessin exclusivement axé sur le corps humain - et quelques incartades animalières - s’est développé depuis 2003 en un ensemble de séries et de textes, Théorème de l’Assassinat, qui trouvera son aboutissement par la présentation en novembre 2008 de l’exposition Reliques à la galerie Guigon …

    Site Richard Laillier